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"Ton devoir réel est de sauver ton rêve" Amedeo Modigliani

Samedi 1er août 2009 à 12:40

 
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Il y a dans cet air
Quelques accords majeurs
Que l’on entend résonner
Au milieu de la grande messe
 
Tu marches avec moi
Vers le temple nous allons
Forts comme ces colonnes
A se consolider le cœur
 
Le vieux soleil éclaire
Tes cheveux, ton regard d’ambre
C’est là que je réalise
Ma chance d’être en vie
 
Autour de nous les ruines
D’un monde qui va ainsi
De vie qui se dégradent
Mais nous ignorons cela
 
Il y a toi et moi
Fier et fort comme ce temple
Et il y a toi, c’est sûr
L’offrande que m’ont faite les dieux.
 
Rome, le 9 mars 2009

Samedi 1er août 2009 à 12:37

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Je te parle d’un pays où des images parfois me reviennent dans la tête
Toi et moi quittant Paris, s’envolant, regardant vers d’autres horizons
Je te parle d’un pays où les oliviers se comptent par milliers
Là-bas, à midi, on te sert des tomates, des concombres, du poivron…
 
Je te parle d’un pays d’Histoire, de légende, et d’archéologie
Je te parle d’un pays où tu pleurs tous les jours car ici c’est ton pays
 
Je te parle d’un pays où les chiens dans les rues dorment comme être mort.
Là-bas dans ce pays, on te prête la main et on ne sourit pas
Je te parle d’un pays où les drapeaux bleus et blancs flottent à chaque coin de rue
Las bas dans ce pays, on entend résonner les cordes du bouzouki
 
Je te parle du pays de l’Iliade, les philosophes et la mythologie
Je te parle du pays qui nourrit tes rêves tout au long de tes nuits
 
Je te parle d’un pays de musique, de danse, où le théâtre est roi
Là-bas dans ce pays le bleu de la mer n’est semblable à nul autre
Je te parle d’un pays où les iles par milliers se rejoignent en bateau
Je te parle d’un pays où on joue de la flute et de la cithare sur un ferry
 
Je te parle d’un pays où on est libre tu vois, on ne voit pas les autres
Je te parle d’un pays que main dans la main tu m’as fais découvrir
 
 
Je te parle de ton pays, ton pays c’est ton parie
Mon Paris c’est ton pays
Ton pays c’est ton parie
Mon parie c’est ton pays
Ton pays c’est ton Paris
Ton pays c’est mon Paris…

Samedi 1er août 2009 à 12:31

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Laissez donc la parole aux enfants
Et venez constater comme ils sont francs
Avec leurs émotions ils ne trichent pas
Et vous voudriez en faire des soldats ?
 
Laissez donc les émotions s’exprimer
Vous ne savez donc que les réprimer ?
C’est l’enfant qui les faits résonner en vous
Alors vous faites tout pour les mettre à genou
 
 
C’est un peu triste dans la famille
C’est un peu l’armée pour garçons et filles
 
 
C’est sûr, s’ils se mettent à les reconnaître
C’est sûr, s’ils se mettent à les accepter
Vous ne sauriez donc plus où vous mettre
Si tous vos ordres ils les refusaient
 
Alors, on préfère en faire des guerriers
Des petits soldats prêts à obtempérer
Obéir insensible sans hésitation
Criez respect à votre domination
 
 
C’est un peu triste dans la famille
C’est un peu l’armée pour garçons et filles

Vendredi 31 juillet 2009 à 18:29

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Doux matin
Lumière pale sur tes seins
Je ne dors pas
Je veille sur toi
 
Enfantin
Donc un peu clandestin
Je festoie
Je me nourris de toi
 
 
Et je cours dans mes rêves
Je savoure tes deux lèvres
 
 
Teint vermeil
Espiègle au réveil
Tu te déploie
Je reste sans voix
 
Tu entonnes
Tes sons me résonnent
Dans le cœur
Mon étoile de couleur
 
 
Et je cours dans mes rêves
Je savoure tes deux lèvres
 
 
 
 
Je flair ta fleur
Petit bout de candeur
Tu t’ouvres à moi
Deviendrais-je ton roi ?
 
Pétulant
Profitons de l’instant
Notre flambeau
Ta peau contre ma peau
 
 
 
Et je cours dans mes rêves
Je savoure tes deux lèvres
 
Mon amour de mes rêves
Je savoure tes deux lèvres
Mon amour de mes rêves
Je savoure toutes tes lèvres

Vendredi 31 juillet 2009 à 18:25

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Un peu dénudée
Prête à savourer
Tu me regardes d’un air ambitieux
 
Je sens effleurer
Ton désir de sombrer
Toute une nuit jusqu'à l’aurore
 
Laissons-nous nous perdre, fermons les yeux
Fermons les yeux, nous sommes amoureux
Quoi de plus suave qu’une nuit à deux
Fermons les yeux c’est si délicieux
 
 
 
Je suis si léger
Prêt à me noyer
Encore plus bas je goute à ta saveur
 
Tu aimes lecher
Et me sentir respirer
Dans toutes tes actions je garde le silence
 
 
Laissons-nous nous perdre, fermons les yeux
Fermons les yeux, nous sommes amoureux
Quoi de plus suave qu’une nuit à deux
Fermons les yeux c’est si délicieux
 
 
On aime caresser
Dans l’obscurité
On s'attache toujours à notre ivresse
 
 
 
Finir par se trainer
Finir par se faner
Et puis demain tout recommencer

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