Des rêves, des rêves, des rêves
Et qu’on en crève, de nos rêves
L’espoir, l’espoir, l’espoir
On ne voit que du noir, à l’espoir
Juste un rappel, tu n’es rien
Et la vie que tu te fais n’est pas la réalité
Alors pour oublier vient donc te coucher
Et je t’en prie, rêves, rêves, rêves.
Paris, le 28 avril 2009